[Power-up] Rencontre fatidique, Mikazuki rencontre un capitaine détestable (pour elle)

Rappel du premier message :

Mon garganta s'ouvrit, me laissant sortir près d'une forêt qui cachait mon arrivée. A peine sortie je masquais au maximum mon reiatsu, je ne savais pas trop pourquoi j'étais venue ici en fait, mais le hueco mondo m'ennuyais et je n'avais pas envie 'aller dans le monde réel...
Maintenant que j'étais là, il fallait bien que je trouve quelque chose à faire, ne serais-ce que me balader, sans me faire repérer. Pour ma petite ballade je n'avais pas garder mes vêtement d'arrancar, on ne savais jamais, je n'avais pas envie de me mettre à dos tout le seireitei en me faisant repérer à cause de ça. J'avais du coup mon fameux sweat à capuche, short, bottes, le tout noir, et la capuche sur ma tête pour cacher mon masque. Je me dirigeais vers une petite ville, ou plutôt un village. Arriver à l'entrée de celui ci je changea d'idée et montai dans un arbre qui s'élevais bien haut non loin du village. Je me posai sur une branche, et attendais, fixant les âmes qui vivaient leurs vie ici.

Une fois notre méfait accompli, Mikazuki indiqua qu'il n'en restait qu'un. C'était exact, je lui dit donc, tout en prenant la route vers l'ouest :

__Direction les vieux sites délabrés alors.

Puis nous marchâmes surement durant quinze longues minutes avant d'arrivé à un tas de ruine. Je lui indiqua sur un ton calme :

__C'est ici. Vraiment délabré hein.

Je restais sur cette phrase, qui commençait légèrement à peser sur l'air calme et sinistre de l'endroit.

Tout en ce dirigeant vers une route qui partait vers l'ouest, il me répondit. Nous partîmes alors vers les vieux sites délabrés. Je le suivis, et après avoir marchés pendant une bonne dizaine de minutes. Koibito m'indiqua que nous étions arrivés, et rajouta un commentaire sur le site. « Vraiment délabré hein. ». J’acquiesçais avec un « Hun. » signe que je trouvais cet endroit vraiment... En piteux état. L'endroit était vide, il n'y avait que nous, enfin, à première vu, mais le dernier shinigami devait bien se cacher quelque part part là. J'entrais dans les ruines et commençait à chercher moi même.

Elle semblait avoir acquiescé avec un simple "Hun." puis elle parti dans les ruines à fin de chercher elle même. Je lui indiqua gentiment :

__Je reste à l'extérieur au cas où il s'enfuirait... Bonne chance, Mikazuki-chan.

Puis je m'assis sur un amas de pierres, regardant les ruine puis dessinant un portrait de notre chère arrancar sur le sol avec une pierre. Je souriais naïvement tout en continuant de dessiné. Ceci me surpris, notamment quand je m'aperçu de ce que je faisais. Puis j'entendis un bruit dans les ruines.L'avait-elle trouvé ? Je resta là, décidant d'attendre quelque temps encore, avant de bouger.

Pendant que je partais moi même chercher, Koibito me dit qu'il restait à l'extérieur au cas où que le shinigami s’enfuirait, puis il me souhaita bonne chance.
Je partie donc à ma recherche. La recherche ne fut pas si longue que ça. Je n'avais aperçus qu'un bout de tissu, déplacer quelques pierres qui me gênaient de trop, fait un petit sonido, et j'étais arrivée face à la personne que je cherchais. Je crois qu'il n'eut même pas le temps de se rendre compte que j'étais désormais en face de lui, que je l'avais envoyer valser à l'aide d'un magnifique coup de poing dans la figure (et toute en finesse >:D). Mon coup avait été tellement fort qu'à mon avis j'avais dû lui casser quelques dents, quel dommage. Il avait du atterrir vers l'entrée, et donc je me dépêchais d'aller le retrouver en sonido.

Après ce bruit entendu dans les ruines, je vis le shinigami atterrir non loin de moi. Et Mikazuki arriva elle aussi, assez rapidement. Sur le sol elle pouvait admirer le fait que j'ai dessiner son portrait. En faite, cela pouvait être un peu gênant. Ce n'était pas grave en faite. Je me leva et me rapprocha de Mikazuki et lui :

__Je te laisse t'occuper de celui là. Enfin, a par si tu veux pas.

Puis je retourna devant le portrait, essayant de le cacher des yeux de Mikazuki. Je fis donc mine de regarder le ciel, quel beau temps, ces beau nuages grisâtre.... Ce sentiment qu'il va pleuvoir....

Quand j'étais arrivée près du shinigami que javais envoyer balader dans la direction de Koibito, j'avais jeté un coup d'oeil à celui-ci, et avais aperçu quelque chose sur le sol, mais n'y prêtais gère plus d'attention. Koibito se leva et vint se rapprocher du shinigami et de moi même, afin de me dire qu'il me laissait m'occuper de ce shinigami, à moins que je ne le veuille pas. Pendant que lui retournait a sa place et regardé le ciel, je m'étais déplacé plus proche du shinigami qui était toujours au même endroit, a moitié allonger sur le dos et qui affichait un visage terrifié. Je ne lui laissa pas dire une seule chose, et ne lui adressa pas la parole, ne faisant que lever ma main pour ensuite lui envoyer un cero dans le coeur. Je le laissait mourir tranquillement sous l'effet du cero et tournai la tête de trois quart vers Koibito pour lui parler.

- J'ai vu. Quel dommage, alors que tu cherche à y cacher.

Je restais sur ma phrase, et ne bougeais pas. Le travail était fini non ? Je n'aurais qu'à repartir au Hueco Mundo, mais pour y faire quoi là-bas,à par regarder le plafond de ma chambre. Autant rester ici, tant que je ne n'ai pas de problème.

Elle élimina le shinigami puis m'indiqua qu'elle avait vue ce que j'avais dessiner sur le sol. Elle avait même deviner que je cherchais à le cacher... Puis elle attendait... Bizarre. Le travail était fini, une vengeance accomplie. N'avait-elle donc pas l'envie de retourner dans son petit chez sois ? Ce n'était pas grave, quelque goutte commencèrent à tomber sur mon visage puis un peu partout. Je me retourna vers elle, fit un grand sourire en fermant légèrement les yeux et lui dit :

__Tu ne part pas ? Le travail est pourtant fini... Mais si tu reste, alors viens avec moi, il commence à pleuvoir, ce serai bête que tu attrape froid par ce temps.

Puis je m'approcha du corps du shinigami, il était bien mort, cependant j'encastra ma lame dans son corps, et comme pour le précédent, il partit en fumé dans les flammes noirâtres. Après tout, cette technique fonctionne très bien aussi sur les morts, parfait pour ne laisser aucune trace de meurtre.

Alors que la pluie commençait à tomber Koibito se retourna vers moi et fit un grand sourire tout en fermant un peu les yeux avant de " m'inviter " à venir avec lui si je comptais rester ici, pour ne pas attraper froid sous la pluie rajouta-t-il. Après ça il fit disparaître à l'aide de ses flammes noires le corps du shinigami mort. Au vu que je comptais pas partir maintenant, et que je n'avais rien d'autre à faire, pourquoi ne pas rester en sa compagnie. Je m'approchais de Koibito tout en mettant ma capuche pour me protéger un peu de la pluie et lui demanda.

- Et donc on va s’abriter où ?

Elle s'approcha de moi et mis une capuche. Puis demanda où on allait s'abriter. Je lui souris un peu plus et lui demanda si je pouvais la porter, car niveau discrétion, ce serai mieux qu'elle n'utilise pas son sonido. Je lui indiqua qu'en deux minutes en shunpo on serai dans ma résidence, bien entendu à pieds il faudrait compter une bonne quinzaine de minutes et nous serions trempés. J'attendais donc sa réponse, espérant qu'elle n'attende pas longtemps pour se décider, car la pluie allait s'accélérait et tomber à grosse goutte d'ici peu.

Koibito me demanda s'il pouvait me porter, en effet pour la discrétion il serait mieux que je n'utilise pas de sonido, ouaip, sauf que voir un capitaine qui porte une gamine de mon âge ça fait pas dans la discrétion non plus. C'était une idée plutôt déplaisante pour moi, je n'étais pas du genre à me laisser porter comme ça par n'importe qui, en territoire ennemi et, enfin bref. Malgré ça voyant que la pluie commençait quelques peu à tomber de plus en plus je m'y résignait et acceptais avec un hochement de la tête. Mes habits commençaient à être trempés à un point que c'était comme si je n'en avait pas et que le froid de l'eau touchait directement ma peau, frileuse comme j'étais c'était tellement agréable... En prime, les bouts de mes cheveux s'ondulaient de plus en plus, maintenant on pourrait les comparés à des anglaises, plutôt jolies je dois dire même si je préfère avoir les cheveux lisse -et en pétard mais ça c'est un détail.

L'idée que je la porte n'avait pas l'air de lui plaire mais elle finis par accepter, d'un hochement de tête. Je l'a pris donc dans mes bras, comme on porterai une princesse dans les temps ancien, ou une fille malade, faible et, ou, fragile. J'avais l'impression de la toucher quasiment directement, ses vêtements étant trempé, la pluie devait les traverser. Les cheveux de l'arrancar commençaient aussi à onduler, en commençant par les pointes. Je la serrai fort contre moi, comme pour la réchauffer, puis exécuta plusieurs shunpo à la suite pour arriver devant à ce qui ressembler à une maison de noble. Nous y entrâmes, déposant nos chaussures à l'entrée, et j'emmena la jeune arrancar dans la salle de bain, où je fis couler de l'eau chaude et lui passa deux serviettes en lui disant :

__ Tien, sèche toi, repose toi dans un bon bain chaud, puis viens me trouver dans le salon.

Puis je m'en alla dans la pièce où se trouvait un grand sofa, j'ai nommé : le salon.

Après ma réponse il me porta donc, d'une manière plutôt gênante, m'enfin c'était toujours mieux que si ça avait été de la façon sac à patate. Il me serrait fort, surement pour me réchauffer un peu, ce qui marcha, c'était gentil de sa part. Plutôt comique comme situation entre un shinigami et une arrancar à vrai dire, c'était tellement banal, pour des ennemis. Il parti en shunpo pour que nous arrivions à un maison, une maison de riche a première vue. Après être rentrés et avoir déposés nos chaussures à l'entrée il m'emmena dans une salle de bain dans laquelle il fit lui même couler de l'eau chaude dans un bain ainsi que de me passer deux serviettes avant de me dire de me sécher et de me reposer dans un bain chaud, pour ensuite le retrouver dans le salon. Après quoi il parti, en direction du salon je supposa, en me laissant donc seule ici. Je pris soin de fermer la porte à clé, c'est bien joli mais j'étais quand même dans la demeure d'un ennemi, je ne pouvais pas me permettre de me relâcher autant. Avant de me déshabiller je cherchais déjà où se trouvait le savon, que je n'ai pas à me lever du bain pour aller le chercher. Facile à trouver, il était positionné sur un rebord d'un lavabo. Je le pris et le déposait sur un rebord du bain. Une fois fait j'entrepris de me déshabiller et de déposer mes habits trempés sur une sorte de fil, malheureusement l'eau gouttait sur le sol mais je ne voyais pas où est-ce que je pouvais les mettre hormis ici. J'entrai dans le bain et me lavais donc. J'y restais au moins dix minutes, avec une certaine flemme de sortir de la bonne eau chaude, mais au final je me décidais et sortie, ça aurait été malpoli de rester plus longtemps et de faire patienter Koibito autant. Une fois sortie j'enlevais l'eau et commençais à me sécher avec une seule serviette. Une fois fini, je la mis sur ma tête pour y enrouler mes cheveux dedans. L'autre serviette bien sèche me servie de... " d'habit ". C'est bête mais en effet je n'y avait remarquée qu'une fois sortie de l'eau que je n'avais pas d'habit de rechange. Je l'enroulait donc autour de moi, déverrouillais la porte, et sortais dans le couloir à la recherche du salon -que je ne savais absolument pas où il se trouvait. Je marchais un petit moment, ouvrais quelques portes, regardais à l'intérieur des pièces, refermais les mauvaises portes, et trouvais enfin l'endroits que je cherchais. Je restais dans l'encadrement de la porte pendant que je voyais Koibito assis sur un sofa et lui demandai un peu gênée.

- Je pourrais avoir quelques vêtement, mes habits étant trempés ce serait plus pratique que de garder cette serviette...

Pendant que la jeune, et mignonne, arrancar prenait un bain, j'étais en train de me dire qu'il y avait un petit problème. Le problème n'était autre qu'elle n'avait pour affaire, que les vêtements trempé dans les quels elle était venue... Autrement dit, elle allait venir me voir, nue enroulé d'une serviette surement, pour me demander des habits.... Le petit soucis était que je n'avais rien de féminin chez moi... Je décida donc, le temps qu'elle finissait sa douche, d'aller chercher un grand t-shirt. J'en trouva un, blanc. Il devait être assez grand pour lui faire office de mini-jupe ou de jupe. Je retourna donc dans le salon, m’asseyant sur le sofa. La minutes qui suivit, elle arriva et demanda sur un ton plutôt gênée, si elle pouvait avoir quelques vêtements car ce serai plus pratique que de garder une serviette. Je tendis donc ma main en arrière, laissant y pendre un long t-shirt blanc, car au vue de la configuration de la pièce, la porte d'où venait Mikazuki-chan était derrière le sofa. Je lui dit en même temps :

__Tiens, charmante arrancar, c'est tout ce que j'ai à te proposer... Ne m'en veux pas, j'ai pas pour habitude de faire venir des femmes ici...

Le ton de ma phrase était sur un ton plutôt gêner...

Après que ma question fut posé il me tendis un t-shirt blanc, assez long a ce que pu voir. Koibito n'avait autrement pas bouger plus à par ça, il rester toujours dos à moi assis sur le sofa. Il s'excusait en même temps sur le fait de ne pas avoir de vêtement féminin. Cela me surpris presque, à première vue il avait l'air dragueur et pourtant peu de femme venait chez lui à ce qu'il me dit. Je pris sans rechigner le t-shirt qu'il me tendait et lui répondis sur le même ton que précédemment.

- Ce n'est pas grave, merci... Et le " charmante arrancar " n'est pas indispensable...

Comme j'avais quelque peu une flemmagite aigu je ne retourna pas à la salle de bain pour enfiler le t-shirt, enfin surtout car j'avais oubliée le chemin pour y aller. Gardant la serviette qui entourais mon corps j'enlevais celle sur mes cheveux et enfilais le t-shirt. Une fois fait je retirais la serviette qui me restais et constatais que le t-shirt était bien assez long, au moins une bonne chose. Je mis l'une des serviette sur mes épaules pour éviter que l'eau de mes cheveux encore mouillés ne goutte sur le t-shirt. L'autre serviette en main je m'approchais du sofa et passais devant pour parler à Koibito.

- Ca fera l'affaire le temps que mes vêtements ne sèchent.

Elle prit le t-shirt et me répondit que ce n'était pas grave et que "charmante arrancar" n'était pas indispensable, tout cela sur le même ton légèrement gênée que tout à l'heure. Ensuite elle se plaça devant moi, avec pour vêtement, seulement le t-shirt "assez grand" pour la couvrir d'en haut jusqu'au minimum en dessous de ses parties intimes. Elle m'indiqua que cela fera l'affaire le temps que ses vêtements sèches. Je remarqua la serviette sur ses épaules, surement pour éviter de trempé le t-shirt a cause de l'eau dégoulinant encore de ses, magnifiques, cheveux. Je me leva et lui dit :

__Suis moi, on va au moins sécher correctement tes cheveux, non ? Comme ça tu n'aura pas besoin de supporter le poids d'une serviette humide sur les épaules.

Puis je sortis par la porte d'où elle venait, suivis le couloir avant de prendre une porte sur la gauche, arrivant dans la salle de bain d'où elle venait précédemment. Je sorti d'un tiroir un sèche-cheveux que je brancha, je me tourna vers Mikazuki et lui dit :

__Mademoiselle l'arrancar, si vous le permettez, tournez vous, que je puisse sécher pleinement vos cheveux.

Ceci était bien sur dit, sur un ton légèrement gêné, mais aussi enjoué.

Koibito se levait par la suite du canapé et me dit de le suivre pour aller sécher mes cheveux, afin de ne plus avoir cette serviette sur les épaules. Je le suivis donc. Après avoir un peu marché dans le couloir nous arrivâmes une nouvelle fois à la salle de bain, et c'est à ce moment que je me dis qu'en faite le chemin était si simple. Arrivée il sorti d'un tiroir un sèche cheveux et le brancha avant de me demander de me tourner, pour u'il puisse me sécher les cheveux. Je fus un peu surprise qu'il veuille me les sécher, et puis je pouvais le faire moi même, mais si ça lui faisait plaisir je n'allais pas lui refuser, quand même. Je fis un sourire, en étant toujours gênée, en faite, j'aimais bien qu'on touche mes cheveux, donc ça ne me posais pas plus de problème que ça de le laisser faire. Je me tournais donc, et le laissait commencer.

Elle me fis un sourire, quelque peu gênée, et se tourna. J'alluma donc le sèche-cheveux, attraper quelque mèche, puis les sécher. Je fis comme cela durant cinq minutes, prenant soins de sécher globalement ses cheveux. Puis je faisais par petites mèches, prenant mon temps, pour être sur qu'ils soient bien sec. Une fois fini, j'éteignis le sèche-cheveux, le débrancha, et le rangea dans le tiroir. Ensuite je pris Mikazuki-chan contre moi, sentant ses cheveux au point d'en faire la remarque suivante :

__Ils sentent bon, vos cheveux...

J'avais dit cela sur un ton légèrement plus gêné que la dernière fois.

Il alluma le sèche-cheveux et commença à sécher mes cheveux, cela dura un petit moment, et au bout d'un certain temps mes cheveux furent complètement sec. Koibito débrancha le sèche-cheveux et le rangea, suite à ça , alors que je n'avais toujours pas bougé, il me pris contre lui et commenter le faite que mes cheveux sentait bon. Il avait l'air plus gênée qu'avant, et moi aussi d'ailleurs, c'était pas dans mes habitudes d'être dans ce genre de situation. Me rendant compte de ça je m'écartais tout en me retournant, un peu gênée, et je pris la parole tout en détournant la tête.

- Merci...

Je pensa soudainement qu'il serait bien que je me brosse les cheveux, si possible. J'avais beau aimer laisser mes cheveux en bataille, mais là, après des coup de sèche-cheveux ils devaient être tout emmêlé, quoique, je n'avait pas si facilement que ça des noeud m'enfin bon.

- Est-ce que je pourrais avoir une brosse ?...

Alors que je profitais du fait de sentir ses cheveux et de la tenir contre moi, elle finis par s'écarter en se retournant et me remercia en détournant la tête, gênée. Ensuite elle avait l'air de penser à quelque chose puis me demanda une brosse. J'en sorti une d'un tiroir et lui tendis en disant :

__Tu veux te les brosser toi même, ou bien préfère tu que je m'en charge ? Je te laisse y réfléchir, je reviens, ne bouge pas.

J'avais dit cela sur un ton moins gêné que tout à l'heure, et avec un grand sourire. Puis je parti l'espace de deux minutes, revenant et posant une chaise derrière Mikazuki et lui fit signe de s'asseoir. Lui tendant à nouveau la brosse et lui demandant :

__Alors ?

Il sorti une brosse et me la tendis en me demandant si je voulais me brosser moi même les cheveux ou le laisser faire. Il parti de la salle de bain en me disant de ne pas bouger, et qu'il me laissait réfléchir. Après qu'il soit parti je regarda la brosse tout en réfléchissant. Koibito revient vite, avec une chaise qu'il déposa derrière moi puis me fit signe de m'asseoir tout en me tendant encore la brosse et en me demandant " Alors ? ". Comme réponse je ne fis que de m'asseoir sans attraper la brosse, ça voulait dire ce que ça voulait dire. J'attendis alors, en espérant qu'une chose : qu'il ne me fasse pas mal, j'étais assez sensible quand on me tirait un peu trop les cheveux.

Elle ne répondit pas, du moins pas oralement. Elle se contenta de s'asseoir sans me prendre la brosse. Ensuite elle semblait attendre. Je compris donc que je devais la coiffé. Je prenais donc ses cheveux, délicatement, de la main gauche, et avec la main droite les brosser, tout aussi délicatement en faisant attention de ne pas forcer quand sa coincé. Je ne voulais pas lui faire de mal donc je prenais mon temps. Je lui brosser les cheveux de façon très délicate, enlevant les rares noeud, sans forcé mais en passant de léger coup à plusieurs reprise. Cela me pris donc plus d'un quart d'heure pour la coiffé. Une fois fini, je lui tendis un miroir en demandant :

__Est-ce que cela vous va, mademoiselle l'arrancar ?

Koibito commença à brosser mes cheveux. A ce que je sentais, il y allait doucement, ce qui m'étonnai quelque peu en fait, ce n'était pas une brute du style je te déchire les cheveux. Et même, dès que la brosse coinçait, il ne forçait pas et faisait attention à ne pas faire mal en enlevant les quelque noeud qui traînaient. Je commençais à me dire que, pour une fois, mes cheveux allaient être mieux brossés que d'habitude, étant donné que je prends rarement soin d'enlever chaque petit noeud, et les laisse en bataille. Il mit quand même un bon moment avant de finir, et pendant tout ce temps où je ne devais pas bouger je ne faisais que de m'amuser à enrouler mes doigts dans le tissu du t-shirt, grande occupation n'est-ce pas. Quand le brossage fut fini il me tendis un miroir en me demandant si cela m'allais. Je regardais donc mon reflet, et constatais que mes cheveux étaient très bien brossés, pour changer un peu. Je répondis donc d'un hochement de la tête et d'un sourire. Je me levais de la chaise et me tournais vers Koibito pour lui parler, un petit quelque chose me gênais.

- Stop avec les " mademoiselle l'arrancar " et les " Mikazuki-chan ", tu peux m'appeler par mon prénom, Yuuko, ce sera plus court.

Elle regarda son reflet dans le miroir tendu, et me répondit par un hochement de tête positif et d'un sourire. Par la suite elle se levait pour ensuite se tournait vers moi et m'indiqua d'une certaine manière, que je devais arrêter avec les "mademoiselle l'arrancar" et "Mikazuki-chan". Tout cela pour me dire de simplement l'appeler par son prénom, Yuuko. Je répliqua immédiatement :

__Hmm... Ce n'est pas que je trouve cela gênant.... Mais qu'un shinigami, capitaine qui plus est, appel familièrement une arrancar... Vous ne croyez pas que cela fait un peu.... "suspect" ?

J'avais dit tout cela sur un ton quelque peu, gêné.

Il me répondis immédiatement, me disant qu'il ne trouvais pas cela gênant, mais plutôt suspect du fait qu'un shinigami, qui plus est capitaine, appel familièrement une arrancar.
J'avoue que dit comme cela... Mais, j'avais quelque chose à répondre en retour.

- Et ce n'est peut-être pas bizarre, qu'un shinigami, capitaine, invite une arrancar chez lui et lui prête sa salle de bain ?

J'avais dit cela sur un ton moqueur, avec un grand sourire, en effet quand on voyait sous cet angle c'était plutôt comique.

Elle me répondit en retour, si cela n'était pas bizarre qu'un capitaine shinigami invite une arrancar chez lui et qu'il lui prête sa salle de bain en plus ? Bien sûr sur un ton légèrement moqueur et avec un grand sourire. Je répliqua avec un grand sourire à mon tour, tout en la prenant contre moi :

__Et n'oublions pas aussi, que ce même capitaine à coiffer cette arrancar. Et ceux de son plein gré. Et qui plus est, que maintenant voici qu'il la câline, si on puis dire.

A ces mots, je la regardai avec un grand sourire, attendant sa réaction, ou sa réplique si elle en avait encore une à sortir. Cela était très drôle, ainsi que très agréable, cette situation entre un capitaine et une espada.

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