[Power-up] Rencontre fatidique, Mikazuki rencontre un capitaine détestable (pour elle)

Rappel du premier message :

Mon garganta s'ouvrit, me laissant sortir près d'une forêt qui cachait mon arrivée. A peine sortie je masquais au maximum mon reiatsu, je ne savais pas trop pourquoi j'étais venue ici en fait, mais le hueco mondo m'ennuyais et je n'avais pas envie 'aller dans le monde réel...
Maintenant que j'étais là, il fallait bien que je trouve quelque chose à faire, ne serais-ce que me balader, sans me faire repérer. Pour ma petite ballade je n'avais pas garder mes vêtement d'arrancar, on ne savais jamais, je n'avais pas envie de me mettre à dos tout le seireitei en me faisant repérer à cause de ça. J'avais du coup mon fameux sweat à capuche, short, bottes, le tout noir, et la capuche sur ma tête pour cacher mon masque. Je me dirigeais vers une petite ville, ou plutôt un village. Arriver à l'entrée de celui ci je changea d'idée et montai dans un arbre qui s'élevais bien haut non loin du village. Je me posai sur une branche, et attendais, fixant les âmes qui vivaient leurs vie ici.

Il trouva quelque chose à répondre quand même, et en plus, il me repris encore une fois contre lui.

- Et n'oublions pas aussi, que ce même capitaine à coiffer cette arrancar. Et ceux de son plein gré. Et qui plus est, que maintenant voici qu'il la câline, si on puis dire.

Là je restais silencieuse tout en le regardant sourire. Ce qu'il venait de dire, ainsi que ce qu'il faisait, était gênant. D'autant plus que ce n'était pas la première fois qu'il me fasse un... câlin. Mais cette fois, alors que mon moment de gentillesse arrivait, je décidais de le laisser faire, le repousser encore aurait été bien méchant de ma part. Cela ne m'empêcha pas de lui répondre.

- A par ça, ce serait suspect de m'appeler par mon prénom, hein ? avais-je dis sur un ton ironique.

Au final, j'avais gagnée. Il avait accepté de me tutoyer. Il m'autorisait même de le tutoyer à mon tour, et de mettre un suffixe qualificatif si je le souhaitais. Je ne remarqua pas sur le coup mais, désormais, il me caressais la joue gauche, et me demandais s'il pouvais utiliser un suffixe qualificatif après mon prénom, ou non. Qu'il me fasse un câlin s'il veut, mais qu'il me caresse la joue, là, c'était très embarrassant. Je détournais le regard sans pour autant bouger, et remarquai quelque chose dans ce qu'il avait dit avant de lui répondre. "seulement et simplement". A ces mots on dirait qu'il en était désolé, du moins c'était ce que je comprenais. Je décidais de répondre simplement.

- Fais comme tu veux...

Après que j'eus dit que je laissais faire, il me dit qu'il choisissait Yuuko-chan alors, si cela ne me dérangeais pas. Je ne répondis pas, ce n'était pas la peine. Cela ne me dérangeais pas. Par la suite, il me serra légèrement plus fort, puis passai sa main dans mes cheveux avant de déposé un petit baiser dans la nuque suivi d'un près des lèvres. Je restais figée en ne sachant pas trop comment il fallait réagir face à ça. J'étais gênée et Koibito le semblais tout autant, puisqu'après qu'il se soit rendu compte de ce qu'il faisait il m'avais lâchée et avait reculé. Désormais il tenait son bras droit tout en détournant le regard et rougissant, j'aurais aimée faire un commentaire sur cette rougeur, mais je sentais que je n'étais pas vraiment mieux sur ce sujet là. Avec un air très gêné, il s'excusa, me disant qu'il ne voulais pas, qu'il n'aurait pas dû. Tout en le regardant je lui répondit sur un même ton gêné que je l'en excusait. Au fond de moi je ne lui en voulait pas, mais, faire ça comme ça, pas que ce ne soit pas une habitude pour moi d'être dans une situation comme cela mais bon voilà quoi. Maintenant que nous ne bougions plus, et que le silence régnait, je cherchais quelque chose à dire, un sujet de discussion, rester dans ce silence commençait à être pesant. Après une bonne minute de recherche je trouva enfin, en me rappelant du fait que mes habits allaient mettre du temps à sécher.

- Hum... Me habits, vu comment ils sont mouillés ils ne seront secs que demain, il faudrait que je dore ici... Mais où...